William Safire est décédé hier à l’âge de 79 ans. Au cours d’une carrière bien remplie, il a notamment été la plume de Richard Nixon.
Pour ma part, je retiendrai surtout ses chroniques sur la langue anglaise, qui paraissaient dans le New York Times et que j'ai longtemps retrouvées chaque lundi dans l’International Herald Tribune. Je ne sais pas s’il a tenu cette chronique jusqu’au bout, car je lui ai été assez infidèle ces dernières années.
Il s’intéressait en particulier au sens et à l’origine de mots et d’expressions, souvent à l’occasion de déclarations de personnalités politiques.
Comme par prémonition, j’ai publié hier un petit billet qui, sans que je le sache, était une sorte d’hommage à William Safire.
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